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En 2018, Kaspersky Lab prévoit une hausse des menaces pour la santé connectée

lundi 20 novembre 2017

A l’occasion de son Cybersecurity weekend, Kaspersky Lab a dévoilé ses prédictions en matière de sécurité, pour l’année 2018.

Tribune Kaspersky Lab – Parmi les secteurs les plus à risque : la santé connectée. En effet, pour la société il faut s’attendre à une forte hausse de la cybercriminalité envers les données et appareils connectés relatifs à la santé et au bien-être. En cause ? Avant tout leur valeur, mais également leur forte croissance en termes d’utilisateurs.

Au-delà des données : les équipements médicaux et appareils portables seront-ils la prochaine cible des cybercriminels ?

Le thème de l’édition 2017 de ce Cyber Security Weekend européen était “Next” – the near future and threats we will face ». A cette occasion, des experts de Kaspersky Lab, de KPN et d’EUMETSAT se sont réunis pour évoquer leurs prévisions et études respectives. Les participants ont ainsi pu écouter les prévisions de Kaspersky Lab sur ce que réservent les cybercriminels aux hôpitaux et aux patients en 2018.

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Kaspersky Lab a dégagé 9 grandes menaces qui planeront sur le monde de la santé dans les 12 prochains mois :

- Les attaques ciblant les équipements médicaux avec un objectif d’enrichissement personnel, de malveillance pure, ou pour des motivations pire encore, seront en recrudescence.
- Il faut s’attendre à une hausse du nombre d’attaques ciblées visant à dérober des données.
- Le nombre de cas d’attaques avec ransomware, visant les organismes médicaux, va augmenter.
- Le concept de périmètre professionnel clairement défini va continuer de s’effriter au sein des institutions médicales.
- Les données sensibles et confidentielles transmises aux professionnels de la santé par les appareils portables connectés, les implants notamment, vont être de plus en plus pris pour cible par des attaquants. En effet, ces appareils sont de plus en plus utilisés pour les diagnostics médicaux, les traitements et les soins préventifs.
- Les systèmes d’information médicaux nationaux et régionaux qui échangent des données patients non-chiffrées, ou non sécurisées, avec des praticiens, des hôpitaux, des cliniques et autres établissements, vont être de plus en plus ciblés. Les attaquants vont chercher à intercepter les données lorsqu’elles se trouvent en dehors du pare-feu des réseaux.

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